Quel est le point commun entre Rolex, Lindt ou Victorinox — ces entreprises qui font la renommée de la Suisse à travers le monde ? Toutes trois sont détenues, en tout ou partie, par… des fondations actionnaires. Actionnaires stables et durables, les fondations actionnaires inscrivent les entreprises dans une perspective de long terme. Actionnaires solidaires, elles soutiennent des causes philanthropiques.
En France, ce modèle vertueux de protection, de gouvernance et de transmission des entreprises, encouragé par Prophil, attire de plus en plus d’entrepreneurs visionnaires. Réunis au sein de la communauté De Facto, les pionniers du modèle s’inspirent notamment de leurs homologues suisses pour construire l’économie de demain, au service du bien commun.
Delphine Bottge est la correspondante suisse de la communauté De Facto dédiée aux fondations actionnaires, avocate au barreau de Genève et Academic Fellow à Centre en philanthropie de Genève.
Dans son livre Les Fondations actionnaires en Suisse, ces fondations qui détiennent des entreprises, elle dresse un panorama sur ces fondations, revient sur leurs motivations et revient notamment sur l’étude de cas de Victorinox.
Dans ce webinaire à la question, la Suisse et la France sont-elles une source d’inspiration mutuelle sur leur modèle de fondations actionnaires ? Delphine Bottge répond par l’affirmative.
Pour en savoir plus, télécharger notre plaidoyer pour les fondations actionnaires : promouvoir en France un nouvel actionnariat pour le bien commun.